Il y a ces jours où tout déborde. Où l’on se dit qu’on n’y arrive plus. Où la fatigue, les cris, la charge mentale deviennent un trop-plein.
Est-ce normal ? Est-ce qu’on exagère ? Ou est-ce qu’il est temps d’en parler ?
En tant que psychologue et professionnelle de la petite enfance, j’accompagne les parents qui se sentent dépassés. Et non, ce n’est pas un échec. C’est un premier pas.
La parentalité est souvent idéalisée. On parle de bonheur, d’épanouissement, de moments magiques… mais on oublie de parler de la fatigue, du doute, de la solitude.
Vous avez l’impression de ne jamais faire assez, jamais comme il faut ?
Vous vous énervez contre vos enfants… et vous culpabilisez ensuite ?
Vous vous sentez épuisé·e, vidé·e, mais il faut continuer ?
Vous aimez vos enfants, mais parfois vous avez juste envie de fuir ?
C’est courant. Et ce n’est pas un manque d’amour.
Certaines situations doivent alerter, surtout si elles durent ou s’intensifient :
Colère ou irritabilité fréquente envers les enfants ou le·la partenaire
Sentiment de solitude ou d’incompréhension
Fatigue persistante, perte de plaisir dans les moments en famille
Pensées du type « Je ne suis pas un bon parent », « J’ai tout raté »
Larmes fréquentes, envie de tout lâcher, sensation d’être "à bout"
Ces signes ne veulent pas dire que vous allez mal, mais qu’il est temps de vous faire du bien.
On entend souvent :
“C’est comme ça avec les enfants”
“Faut prendre sur soi”
“C’est la société moderne, tout le monde est stressé”
Mais quand le quotidien devient un combat, que les tensions prennent toute la place, ce n’est plus une simple période difficile. C’est une alerte qu’il faut entendre. Parler à un·e psychologue peut permettre de souffler, de prendre du recul, de retrouver du lien avec soi-même et avec ses enfants.
Un·e psychologue, c’est un espace :
Sans jugement
Sans injonction éducative
Où vous pouvez vider votre sac en toute sécurité
Où on vous aide à comprendre ce qui se joue (pour vous, pour votre enfant)
Où l’on cherche ensemble des clés concrètes pour retrouver de l’apaisement
Cela peut être une seule rencontre ou un accompagnement plus régulier. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise façon de consulter.
Prendre rendez-vous, c’est souvent le geste le plus difficile. Parce qu’on pense qu’on devrait y arriver seul·e. Parce qu’on a peur d’être jugé·e. Parce qu’on ne se donne pas le droit.
Et pourtant, demander de l’aide, c’est un acte de courage. C’est reconnaître qu’on a besoin de soutien. Et ça change tout.
Je vous accueille à Quimper, à domicile ou à distance. Mon approche allie psychologie du travail et petite enfance, pour prendre en compte l’ensemble de votre réalité. Si ce texte vous parle, c’est peut-être le bon moment pour franchir le pas.